26 Fév 2015
Paris, le 26 février 2015 Après le succès du pack juridique visant à sécuriser les contrats des entreprises du numérique, la Fédération EBEN répond à ses adhérents qui s’inquiètent de la multiplication des actions de piratage des télécommunications. Toujours associée au cabinet ALAIN BENSOUSSAN AVOCATS, expert en droit des technologies avancées, elle vient de se…
Paris, le 26 février 2015
Après le succès du pack juridique visant à sécuriser les contrats des entreprises du numérique, la Fédération EBEN répond à ses adhérents qui s’inquiètent de la multiplication des actions de piratage des télécommunications.
Toujours associée au cabinet ALAIN BENSOUSSAN AVOCATS, expert en droit des technologies avancées, elle vient de se lancer dans la réalisation d’un nouveau pack entièrement dédié cette fois aux métiers des Télécoms et qui comprendra à la fois des conditions de vente, des documents de bonnes pratique (lettres, factures…) et des fiches de formation et d’informations pour les collaborateurs internes.
A l’écoute de ses adhérents, installateurs et intégrateurs, tous experts de terrain, la Fédération met un point d’honneur à les associer à ces travaux lors de commissions ou encore d’ateliers tels que celui qui se déroulera le 7 avril prochain dans les locaux du cabinet ALAIN BENSOUSSAN AVOCATS.
Des opérateurs et équipementiers ont aussi été invités afin d’entamer une réflexion commune aux différents acteurs du métier.
Les cas de piratage repartent à la hausse
Après une baisse du nombre de plaintes, grâce notamment à une importante communication faite par les autorités, par les associations d’utilisateurs et par EBEN, le piratage téléphonique consistant à détourner du trafic en utilisant à distance les fonctions d’un PBX, s’intensifie à nouveau. Le nombre de plaintes arrivant devant la justice ne cesse d’augmenter.
La BEFTI (Brigade d’Enquête sur les Fraudes aux Technologies de l’Information) reconnaît que les investigations sont complexes et ont peu de chances d’aboutir à l’arrestation des criminels. Dans la grande majorité des cas, les pirates sont à l’étranger et difficilement identifiables. Ils n’ont donc aucune raison de stopper leurs agissements.
En attendant, les installateurs en manque d’information et de protection voient leur responsabilité mise en cause avec toutes les graves conséquences que cela peut entraîner pour leur entreprise et l’ensemble de leurs salariés.